Madame la rédactrice,

Je voudrais féliciter La Liberté et toute son équipe pour avoir encore une fois cette année remporté un si grand nombre de prix lors de l’attribution des prix aux journaux francophones de l’Association de la presse francophone.

Je suis un abonné à La Liberté depuis de nombreuses années et je ne me passerais pas de ma Liberté pour tout l’or au monde et surtout la version en ligne qui nous permet de jouir de notre Liberté dès sa parution. On a souvent reconnu l’importance de cet hebdomadaire pour les Franco-Manitobains.

Je voudrais souligner l’importance de La Liberté pour tous les Franco-Manitobains qui, pour une raison ou une autre, sont appelés à vivre à l’extérieur de ce cher Manitoba, que ce soit au Canada ou ailleurs.

En ce qui me concerne, je dévore ma Liberté dès sa parution en ligne ou version papier et je suis tellement heureux de partager non seulement les nouvelles concernant les difficultés toujours présentes de la vie franco-manitobaine mais surtout les nombreuses réussites et progrès au sein de la communauté que ce soit à la Division scolaire franco-manitobaine (DSFM), le réveil fantastique de la nation métisse au Manitoba, l’essor du mouvement des services de santé en français ou tout autre reportage qui témoigne de la vitalité de la communauté franco-manitobaine.

Il est déplorable que le gouverne­ment conservateur au fédéral ne reconnaisse pas l’importance de ces hebdomadaires francophones comme La Liberté.

Je félicite aussi l’équipe de La Liberté pour la publication de nombreux articles qui portent à réflexion sur tout autre sujet tel l’intimidation en milieu scolaire dans « Des adolescents sous pression » de La Liberté du 20 au 26 juin 2012 par la jeune équipe de Génération Y de la Division scolaire Louis-Riel (DSLR). De tels d’articles, courts mais percutants, portent les lecteurs à repenser leurs attitudes sur des sujets de société si importants de nos jours.

Cet article m’a porté à réfléchir sur les méfaits de l’intimidation chez nos jeunes et par contraste, l’importance que joue l’encouragement auprès de ces jeunes sous pression en les aidant à surmonter les difficultés quotidiennes et à réussir une formation prometteuse pour l’avenir.

A vous la parole

Joseph-Ambroise Desrosiers | Cambridge (Ontario) | Le 26 juillet 2012

À vous la parole!
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