À vous la parole
La Liberté – octobre 2014

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Merci les fleurs

Madame la rédactrice,

Je voudrais saluer celui, celle ou ceux qui seraient responsables de la planification des beaux parterres si bien agencés tout le long du boulevard Provencher.

Quelle beauté pour nous tous qui demeurons proches, mais aussi quel bel accueil pour tous nos visiteurs. Les fleurs sont superbes! Je suis très fière de vivre dans le quartier de Saint-Boniface.

Merci.

Yvette Saurette | Le 30 septembre 2014

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À Julie, à Camille et à d’autres

Madame la rédactrice,

À Julie d’Ottawa que je ne connais pas – je propose la consigne de Saint François, laquelle, à mon sens, devrait engager tout le monde : « Là où il y a l’erreur, que je mette la vérité ». Vous avez lu cette manière d’équation : 3 égale 1…

À Camille – pour qui j’ai beaucoup de respect – j’aimerais dire merci pour avoir affirmé « …qu’on ne peut pas dire n’importe quoi » – a fortiori, publier n’importe quoi.

Je comprends bien que chaque croyant est libre de « se rapprocher de Dieu » par les moyens qui lui sont propres, mais prétendre arriver à Dieu par la voie de l’erreur…

Et si ces mêmes croyants découvraient, un jour, que leur cheminement vers Dieu reposait sur l’erreur, ils pourraient peut-être…

En fait, je ne lis jamais la chronique religieuse. Exceptionnellement le mois dernier, j’ai lu celle qui traitait de la Trinité parce que ce sujet m’avait fortement interpellé lorsque je faisais mes études de théologie. La thèse d’un Dieu Trine m’avait paru bien faible, si faible même que…

Pour tout dire, rappelons l’admonestation du peintre Apelle dont le cordonnier avait osé faire la critique d’une des toiles du maître : « Cordonnier, pas plus haut que ta chaussure. »

Marcien Ferland | La Salle (Manitoba) | Le 3 octobre 2014

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