La plupart des membres de la chorale des jeunes de Saint-Kizito. De gauche à droite: Chance Basilwango, Alice Michelle, Noella Inyange, Cindy Dusabenyagasani, Raymond Irankunda, Consolee Umuhoza, Valentine Niyindengera, Deogratias Amani, Clementine Mukamana, Hubert Basilwango, Joanna Mason (présidente de la communauté paroissiale), Immaculee Iramfasha, Hubert Akilimali, Epiphanie Uwamahoro, Roger Habimana, Marie Magdeleine Uwimbabazi, Pacifique Muhire, Yves Ngendahimana.
La plupart des membres de la chorale des jeunes de Saint-Kizito. De gauche à droite: Chance Basilwango, Alice Michelle, Noella Inyange, Cindy Dusabenyagasani, Raymond Irankunda, Consolee Umuhoza, Valentine Niyindengera, Deogratias Amani, Clementine Mukamana, Hubert Basilwango, Joanna Mason (présidente de la communauté paroissiale), Immaculee Iramfasha, Hubert Akilimali, Epiphanie Uwamahoro, Roger Habimana, Marie
Magdeleine Uwimbabazi, Pacifique Muhire, Yves Ngendahimana.

Pour la première fois dans son histoire, la communauté chrétienne de Saint-Kizito doit absorber un drame, un choc impensable : la mort par noyade du jeune Jean-Baptiste Ajua, survenue le 21 août à Bird’s Hill. Hubert Mugaruka Kabasha témoigne.

Jean-Baptiste Ajua, était un athlète à l’avenir prometteur.
Jean-Baptiste Ajua, était un athlète à l’avenir prometteur.

 

Bernard BOCQUEL