James Lindsay, le maire de Lynn Lake, en août 2016, sur le lieu de rassemblement communautaire de Share It on Sherritt. Le maire, enseignant à l’école secondaire du village, explique qu’environ la moitié de ses élèves restent à Lynn Lake après avoir reçu leurs diplômes. « J’aimerais que nos jeunes restent au village une fois qu’ils ont une formation formelle et informelle. Je suis heureux de pouvoir dire qu’il y a un certain nombre de mes élèves qui travaillent aujourd’hui dans la communauté. »
James Lindsay, le maire de Lynn Lake, en août 2016, sur le lieu de rassemblement communautaire de Share It on Sherritt. Le maire, enseignant à l’école secondaire du village, explique qu’environ la moitié de ses élèves restent à Lynn Lake après avoir reçu leurs diplômes. « J’aimerais que nos jeunes restent au village une fois qu’ils ont une formation formelle et informelle. Je suis heureux de pouvoir dire qu’il y a un certain nombre de mes élèves qui travaillent aujourd’hui dans la communauté. »

 

Partout dans le Nord canadien, des communautés isolées majoritairement autochtones souffrent de la plaie des suicides. Pourtant, le village de Lynn Lake, très au nordouest de Winnipeg, a évité bien des drames. Des actions concrètes soutiennent la santé mentale de ses habitants.

Gavin Boutroy