Depuis 2020, elle fait partie des quelques 1146 institutions ayant signé la Global University and Colleges Climate Letter.

Les grandes lignes de ce plan d’action ont été données dans un communiqué publié le mardi 25 avril sur UM Today news. Le plan s’étale jusqu’en 2050, année à laquelle, l’objectif devrait être atteint.

Mais alors, comment y parvenir?

Des idées d’actions concrètes existent déjà. Eleanor Coopsammy, directrice en relation média, explique qu’un comité de la durabilité travaille justement à définir ces actions et que des pistes existent déjà : « L’une des premières consiste à remplacer totalement l’utilisation d’énergie fossile pour nos chaudières par l’électricité. » Elle ajoute au passage que cela devrait permettre d’atteindre l’objectif fixé pour 2030, à savoir : une réduction d’émission de 50%.

Le comité de la durabilité et son plan d’action mènent le combat de l’écologie sur quatre fronts en tout. Réduire les consommations d’énergie dans les infrastructures en améliorant l’isolation par exemple.

En s’attaquant aux moyens de transport. L’UM s’engage donc à poursuivre la transition de sa flotte vers l’électrique ainsi qu’à réduire l’utilisation de véhicules à essence.

En ce qui concerne la problématique des déchets, le comité doit encore convenir d’un plan zéro déchet. Enfin, toute une politique de restauration des terres existe. À travers la surveillance et l’enrichissement de la foresterie urbaine.

Pour ce défi d’avenir, Eleanor Coopsammy confirme que « tous les étudiants sont inclus sur le comité. » Après tout, il s’agit de leur futur d’abord.