Alors que 2025 s’ouvre sur une année porteuse de nouvelles opportunités et défis, je tiens à exprimer toute ma gratitude pour votre soutien indéfectible et à partager des nouvelles importantes pour La Liberté.

Vos dons ont été une bouffée d’oxygène essentielle dans un contexte où les revenus publicitaires, notamment fédéraux, sont plus fragiles que jamais. Grâce à cette mobilisation, nous avons pu prendre une décision audacieuse : le recrutement de deux nouvelles journalistes, Lucille Dourlens et Marie Wielgocki, pour renforcer notre équipe rédactionnelle.

Je tiens également à souligner le départ de notre cheffe de pupitre, Ophélie Doireau, qui a marqué notre équipe par son professionnalisme, sa créativité et son engagement envers La Liberté au cours des 5 dernières années. Son travail a enrichi nos pages et contribué à renforcer le lien avec nos lecteurs et lectrices. Bien qu’elle prenne aujourd’hui un nouveau chemin, nous ne pouvons qu’être reconnaissants pour tout ce qu’elle a accompli. Il est important pour nous de célébrer son parcours et de lui souhaiter le meilleur pour la suite. Ce départ témoigne de la force et de la vitalité de notre journal, capable d’attirer et d’accueillir de nouvelles énergies, de former des talents remarquables et de saluer le chemin parcouru ensemble.

Depuis le premier numéro de janvier, grâce à vos rétroactions, nous avons opté pour un papier plus léger, maniable et recyclé, le même que le Free Press.

Dorénavant, le journal se composera en deux parties en raison des contraintes techniques de notre imprimeur. Le Cahier B sera majoritairement dédié à la culture et à la communauté.

Nous avons pour ambition de continuer à innover, à documenter et à célébrer la vie francophone de notre province, tout en restant fidèles à notre mission : être un pilier de notre communauté et un porte-voix de ses aspirations.

Merci pour votre fidélité, votre générosité et la confiance que vous nous accordez. Votre soutien est bien plus qu’un geste : c’est le moteur de notre engagement quotidien.

Avec toute ma reconnaissance, Sophie Gaulin.