Dotée de nouvelles salles de physiothérapie et de massothérapie, et plus de machines pour l’exercice, la coopérative communautaire d’entraînement Physique Plus répond davantage à sa clientèle.

Natalie Marion, la nouvelle physiothérapeute à Physique Plus.
Natalie Marion, la nouvelle physiothérapeute à Physique Plus.

La coopérative commu­nautaire d’entraînement Physique Plus Fitness de Saint-Pierre-Jolys a presque doublé ses surfaces consacrées au conditionnement physique, à la massothérapie et à la physiothérapie. Le tout dans le but de répondre à une demande toujours croissante de services.

L’agrandissement, effectué en décembre et janvier derniers au coût de quelque 250 000 $, a permis à Physique Plus de passer de 3 200 pieds carrés à 5 700 pieds carrés d’espace.

« La demande du public pour plus de services de massothérapie et de physiothérapie était criante, lance le vice-président du conseil d’administration et gestionnaire de Physique Plus, Roger Lesage. Il était temps d’agrandir. »

En effet, en plus d’ajouter une deuxième salle pour les massages, et plus d’espace pour la physiothérapie, Physique Plus a pu se doter d’un nouveau massothérapeute et d’une nouvelle physiothérapeute.

« Physique Plus est encore plus achalandé depuis l’agrandissement, indique la nouvelle physiothérapeute, Natalie Marion. Quant au service de physiothérapie, nos deux salles de traitement, et notre local pour ranger notre équipement ont fait toute la différence. Nous accueillons toutes sortes de clients, allant de jeunes athlètes qui ont subi une blessure, jusqu’aux aînés, en passant par les personnes faisant de la thérapie post-chirurgicale. En fait, bien que je sois sur les lieux deux fois par semaine, en mars, on ajoutera une troisième journée à l’horaire. »

|Nouvelles machines

Quant à la salle de conditionnement, elle sera bientôt dotée de nouvelles machines de musculation et de conditionnement pour les athlètes semi-professionnels.

« Nous avons plusieurs clients qui se préparent pour la compétition provinciale de musculation Mr. Manitoba, explique Roger Lesage. Nous voulions tenir compte de leurs besoins, sans pour autant négliger ceux du grand public, qui utilisent notre équipement pour faire du conditionnement général, ou encore pour améliorer leur santé cardio-vasculaire.

 
« En fait, un bon nombre de personnes font de l’exercice chez nous pour réduire leur pression sanguine et pour mieux gérer leur diabète, poursuit-il. Un octogénaire a même réussi à réduire des deux tiers les médicaments qu’il prenait pour contrôler son niveau de sucre. Ce genre de succès est très encourageant, et donne raison à nos efforts d’améliorer nos services. »

 

Daniel Bahuaud