Louise Dandeneau : « Heureusement que mes nouvelles se déroulent à une autre époque. Je n’aurais pas pu supporter écrire du commérage en ligne, ou par médias sociaux. Ça aurait été trop cruel. Trop dur à prendre. »
Louise Dandeneau : « Heureusement que mes nouvelles se déroulent à une autre époque. Je n’aurais pas pu
supporter écrire du commérage en ligne, ou par médias sociaux. Ça aurait été trop cruel. Trop dur à prendre. »

Dans Les quatre commères de la rue des Ormes, Louise Dandeneau a voulu brosser le portrait moral de Berthe, Gertrude, Lucille et Mathilde, quatre dames qui parlent beaucoup des autres. Et donc au fond surtout d’ellesmêmes.

Daniel BAHUAUD