![Louise Dandeneau : « Heureusement que mes nouvelles se déroulent à une autre époque. Je n’aurais pas pu supporter écrire du commérage en ligne, ou par médias sociaux. Ça aurait été trop cruel. Trop dur à prendre. »](https://www.la-liberte.ca/wp-content/uploads/2017/07/dandeneau-louise-05.jpg)
supporter écrire du commérage en ligne, ou par médias sociaux. Ça aurait été trop cruel. Trop dur à prendre. »
Dans Les quatre commères de la rue des Ormes, Louise Dandeneau a voulu brosser le portrait moral de Berthe, Gertrude, Lucille et Mathilde, quatre dames qui parlent beaucoup des autres. Et donc au fond surtout d’ellesmêmes.