Rochelle Squires, dans son bureau ministériel, fin mai 2016, peu après avoir assumé ses fonctions de ministre du Sport, de la Culture, du Patrimoine et des Affaires francophones. Dans ses plus récents propos, la députée de Riel reste dans la cohérence du sentiment qu’elle a exprimé lors de sa toute première entrevue avec La Liberté, parue dans le journal du 1er juin 2016 : « Je suis très fière que notre gouvernement ait rendu les lettres de mandat aux ministres publiques. C’est par désir de transparence et d’ouverture. Le message lancé est : « travaillons ensemble ». Pour moi, c’est une grande responsabilité d’être ministre des Affaires francophones. Et un grand honneur. Et je compte bien travailler de concert avec la francophonie, qui fait partie de la grande communauté manitobaine. »
Rochelle Squires, dans son bureau ministériel, fin mai 2016, peu après avoir assumé ses fonctions de ministre du Sport, de la Culture, du Patrimoine et des Affaires francophones. Dans ses plus récents propos, la députée de Riel reste dans la cohérence du sentiment qu’elle a exprimé lors de sa toute première entrevue avec La Liberté, parue dans le journal du 1er juin 2016 :
« Je suis très fière que notre gouvernement ait rendu les lettres de mandat aux ministres publiques. C’est par désir de transparence et d’ouverture. Le message lancé est : « travaillons ensemble ». Pour moi, c’est une grande responsabilité d’être ministre des Affaires francophones. Et un grand honneur. Et je compte bien travailler de concert avec la francophonie, qui fait
partie de la grande communauté manitobaine. »

La fermeture de la clinique express à Saint-Boniface, le 27 janvier, met en lumière la nécessité d’un dialogue permanent entre la Province, les organismes francophones, voire même les individus. Bilan provisoire de la situation.

Daniel BAHUAUD