Lors de cette rencontre, il a été question, entre autres, d’ajouts de portatives et d’inscriptions à la maternelle.

Dans les coulisses de la Division scolaire franco-manitobaine (DSFM), le travail est déjà à l’organisation de la rentrée scolaire 2024-2025.

Pour ce faire, il a été question d’ajout de sept portatives dans plusieurs écoles de la DSFM et du renouvellement de certaines. L’administration de la CSFM a ainsi demander : une portative pour l’École Aurèle-Lemoine, une pour l’École Gabrielle-Roy, une pour l’École Christine Lespérance, deux pour l’École Pointe-des-Chênes, deux pour l’École Voix des Prairies. Une demande a aussi été faite pour renouveler trois l’École Pointe-des-Chênes.

Roxane Dupuis, commissaire de la région Est, a interrogé l’administration pour savoir à partir de combien de portatives des agrandissements avaient lieu. Alain Laberge, directeur général de la DSFM, a répondu. « Il y a une école à Winkler qui a, actuellement, 15 portatives. Sans en prendre exemple, pour l’École Saint-Joachim a eu sept portatives avant son agrandissement. Il n’y a pas de nombre exact. Il faut prendre en compte différents facteurs comme la programmation d’une école, l’année de sa construction parce que les normes n’étaient pas forcément les mêmes et enfin les emplois du temps de chaque classe. »

Rentrée 2024-2025

Du 22 au 26 janvier ont lieu les pré inscriptions à la maternelle pour permettre à la DSFM de s’organiser. René Déquier, directeur adjoint à la DSFM, a dressé le portait. « Nous avons eu 451 pré inscriptions pour l’année 2024-2025. En 2023-2024, à la même période, nous avions 336 pré inscriptions. Ce qui nous laisse présager qu’il y aura sûrement 510 inscriptions en maternelle.

« Grâce à ces pré inscriptions, nous pouvons organisé les besoins spéciaux et les emplois du temps dans les classes. »

Cette hausse des inscriptions semble être une tendance nationale comme l’a souligné Michel Simard, commissaire pour la région urbaine à la CSFM. « Dans le réseau national, ce qu’on observe, avant la pandémie, c’est qu’il y avait environ 174 000 élèves dans les écoles francophones. Durant la pandémie, ce chiffre est descendu à 172 000. Et post-pandémie, on est à 178 000. »

L’administration de la DSFM a aussi rappelé que les parents qui souhaitaient l’enseignement religieux dans leur école pouvaient soumettre une pétition d’ici la fin du mois de mai 2024. Alain Laberge a cependant indiqué. « Les parents peuvent soumettre n’importe quand une demande. Mais plus tôt on le sait, mieux on peut organiser l’emploi du temps. »