Réparer les effets de la colonisation

La place de l’eau dans la culture et l’histoire autochtones est incontournable. Pour le professeur de l’Université du Manitoba Niigaan Sinclair, l’eau tient un rôle essentiel dans la réconciliation. Il appelle à l’attention du public pour réparer
les effets de la colonisation sur cette ressource, qui est essentielle à la vie et à la culture autochtone. La pollution de l’eau, l’accès à l’eau potable pour tous et toutes, les conséquences des déplacements de populations sont autant de luttes à
mener pour avancer sur le chemin de la vérité et de la réconciliation.
L’accès à l’eau, symbole d’inéquité totale

Le Canada, qui est l’un des pays les plus riches au monde et qui renferme 20 % de l’eau douce mondiale, continue de manquer à son obligation d’offrir aux personnes autochtones un accès à l’eau potable.
En Alberta, dix ans de lutte pour des écoles francophones

FRANCOPRESSE – Depuis 1993, les Franco-Albertains gèrent leurs propres écoles. Une avancée majeure, résultat d’une décennie de lutte acharnée qui aura même nécessité un passage devant la Cour suprême. Trente ans plus tard, il reste encore des défis à relever.
CSFM : Une année de plus pour le président

Ce mercredi 27 septembre se tenait la réunion annuelle organisationnelle de la Commission scolaire franco-manitobaine (CSFM).
Langues autochtones et réconciliation : « Qui fait le travail? »

FRANCOPRESSE – De moins en moins d’Autochtones au Canada ont comme langue première parlée des langues autochtones. Pour certains spécialistes, la survie de celles-ci n’est pas assurée, malgré les efforts du gouvernement fédéral.
L’eau, symbole des femmes

Chez plusieurs peuples autochtones, l’eau est féminine. L’eau entretient la vie comme le font les femmes dans leurs communautés. Il est donc certain qu’un lien particulier se crée entre les femmes autochtones et l’eau.
Revoilà Aléa

Le grand rassemblement du Conseil jeunesse provincial (CJP), Aléa 2023, était de retour ce mercredi 27 septembre. Pour l’occasion, le Collège Louis-Riel, ainsi que le parc Provencher, avaient été réquisitionnés pour accueillir quelque 1 200 élèves francophones et francophiles du Manitoba venant de 13 écoles françaises et d’immersion.